Ler este texto é como levar vários socos no estômago - pelo menos para quem defende a laicidade, por um lado, e por outro deseja que pessoas de várias origens possam comungar valores democráticos e progressistas. Para quem odeia os muçulmanos, está quase tudo óptimo. Para quem odeia o Ocidente, está quase tudo mal. Os fanáticos católicos de direita provavelmente vão exultar. Os fanáticos anti-ocidentais relativistas culturais (que defendem os direitos das mulheres mas acham que o Hezbollah é uma organização de libertação) vão odiar.
Para quem quiser tentar ter uma leitura desapaixonada, aqui vai um cheirinho:
D'ici la prochaine décennie à peu près, les louvoiements actuels toucheront à leur terme, l'équation Europe-Islam se resserrera et la pente qui déterminera l'avenir du continent devrait apparaître.
Il est d'autant plus difficile d'anticiper cette transformation qu'elle est sans précédent historique. Aucun territoire de grande envergure n'a jamais ainsi glissé d'une civilisation à une autre à la suite de l'effondrement démographique, religieux et identitaire d'une population ; et aucun peuple ne s'est jamais redressé à une telle échelle pour prôner son patrimoine historique. Le problème européen est si inédit et si étendu qu'il est difficile de le comprendre, tentant de l'ignorer et presque impossible d'en pronostiquer l'évolution. L'Europe nous entraîne tous en terre inconnue.
Il est d'autant plus difficile d'anticiper cette transformation qu'elle est sans précédent historique. Aucun territoire de grande envergure n'a jamais ainsi glissé d'une civilisation à une autre à la suite de l'effondrement démographique, religieux et identitaire d'une population ; et aucun peuple ne s'est jamais redressé à une telle échelle pour prôner son patrimoine historique. Le problème européen est si inédit et si étendu qu'il est difficile de le comprendre, tentant de l'ignorer et presque impossible d'en pronostiquer l'évolution. L'Europe nous entraîne tous en terre inconnue.
2 comentários:
Muito interessante, o artigo citado. Claro que o tom intencionalmente alarmista do texto satisfaz o desiderato de muitos poderes. O medo, já dizia Hannah Arendt, muda sociedades e faz a "ralé" (nas suas palavras) actuar em rebanho acrítico...
A opção mais difícil é normalmente a melhor. Esperemos que vença essa. :-)
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